MAGAZINE NOVO, Valérie Bisson, vendredi 4 avril 2025


Dans une langue à la fois familière et puissante, Rose, la narratrice du deuxième roman de Sarah Jollien-Fardel, se retrouve aliéné, au propre comme au figuré, à sa douleur, la pire : celle de la perte de son enfant.

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On retrouve avec plaisir la langue vernaculaire de la Suisse romande et les paysages des montagnes valaisannes qui ont fait naître la plume de Sarah Jollien-Fardel, celle qu’on avait eu tant de plaisir à découvrir dans son très beau premier roman.