MARIE FRANCE, Bernard Babkine, mars 2013


« Pour l’amour de l’art : Monstre sacré »

« La langue brillante de Vincent Borel, avec mots rares et expressions chantournées, sied à merveille à l’époque et au monde intérieur de ce Richard W. nourri de doutes, d’amertume et de passions vénéneuses. »