REVUE DES DEUX MONDES, Lucien d’Azay, juillet-août 2021


« Tout au long de cette méditation poignante, à perte d’haleine, aux arabesques sinueuses et syncopées, Jean Mattern suggère un parallèle entre la religion et l’amour : une question de foi sans quoi la ferveur ne tiendrait pas du miracle ni d’un élan du cœur, mais d’un agencement de besoins et de circonstances qui, à la longue, se réduirait à un fardeau, comme semble l’être, aux yeux de Robert, son héritage judaïque.
En Israël, le cinquantenaire réussit à échapper aux béatitudes, mosquées, monastères des croisés ou bains rituels pour atteindre, par la musique, une forme de quiétude, et accepter, sans la résoudre, l’énigme qui a marqué sa vie. »

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