ZONE CRITIQUE, Apolline Limosino, dimanche 2 mars 2025


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L’écriture de Sarah Jollien-Fardel est souple, élastique et permet à la douleur de survenir dans sa plus grande justesse sans que cela ne terrasse tout. Elle la contient sans la brider. Ce qui laisse advenir tous les sentiments : de la plus insupportable souffrance au timide apaisement qui clôt, en nous soulevant le cœur, le roman.

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